Augmentation des participants à 32 équipes, première Coupe du Monde Féminine organisée par plus d'un pays : la Coupe du Monde Féminine de la FIFA, Australie & Nouvelle-Zélande 2023™ fait preuve de nouveauté. Hors du terrain, il s'agira de la première édition du tournoi à être entièrement composée de stades certifiés "écologiques". Les dix sites des deux nations ont obtenu la certification, alors qu'avant le tournoi, deux sites seulement en Australie répondaient aux normes Green Star ou LEED du Green Building Council. Un héritage durable sera ainsi laissé par l'Australie et Aotearoa Nouvelle-Zélande en lien avec la Coupe du Monde Féminine de la FIFA, non seulement sur les sites du tournoi, mais aussi en tant que catalyseur du changement dans d'autres sites sportifs dans les deux pays. La certification contribuera à assurer la durabilité opérationnelle, en réduisant la consommation d'énergie et d'eau des sites, et en améliorant l'efficacité dans d'autres domaines, notamment le recyclage.

Depuis la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™, la FIFA met fortement l'accent sur la durabilité et la sensibilisation aux questions environnementales lors de chacune de ses compétitions. Le processus démarre dès les projets de candidature et, pour chaque pays hôte d'un tournoi, comprend un vaste ensemble d'exigences en matière de durabilité. "Les stades sont la clé de l'organisation des tournois de la FIFA et la promotion d'infrastructures de football plus durables a fait l'objet de notre attention depuis l'introduction de l'exigence de certification en 2012", explique Federico Addiechi, Responsable de la Durabilité et de l'Environnement à la FIFA. "Nous sommes ravis que tous les stades de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA 2023 aient atteint cet objectif et ouvrent la voie à des infrastructures sportives plus durables en Australie et en Aotearoa Nouvelle-Zélande."